Black Iruka
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 Une affaire entre deux chevaliers

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Keisa Kyoko
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MessageSujet: Une affaire entre deux chevaliers   Une affaire entre deux chevaliers EmptySam 13 Juin - 18:54






Une affaire entre deux chevaliersWith Éloi Bauchard





C'est au lendemain de la catastrophe que tu as décidé de défier une personne redoutable au sein de la Congrégation de l'Ombre. L'infirmière en chef de cet établissement s'avère être beaucoup plus diabolique et effrayante que ton aînée. Mais toi, la sociopathe de haut niveau, tu as réussi à déjouer la surveillance de cette vieille peau. Désormais, même avec un bras en moins, tu restes cloîtrée dans la salle d'entraînement. La douleur encore existence de ton bras fantôme n'est plus d'actualité. C'est en cherchant dans ta petite planque secrète au fin fond de ta piaule que tu as récupéré une bonne dose de cocaïne pour tenter d'oublier la douleur. Ton seul bras est ravagé par d'innombrables piqûres provenant de la seringue se trouvant à tes pieds, là où tu médites actuellement. Tu as dosé la cocaïne qui est de sept pourcents, un dosage idéal pour ne faire qu'un avec ton palais mental et oublier par la même occasion la douleur désormais minimum de ton bras en moins. Peu importe si désormais tu n'as qu'une main. L'important c'est que ton cerveau est toujours au meilleur de sa forme bien que tu détiennes d'innombrables trous de mémoire. Ça te refais penser à hier où tu as embrassé sans le vouloir, de manière inconsciente la Noah du Savoir. Ton cœur t'a ordonné de le faire alors que ton cerveau t'oblige à abattre cette beauté de la nature.

Tu fronces tes sourcils sous ton masque, tu te mets à grogner en étant perturbée par le visage d'Adalie van Eyck. Ton palpitant bat pour elle, tu te sens bizarrement contente, heureuse mais tu es perdue ô toi la fille du vent salé. Tu te sens coupée en deux entre l'envie de te rapprocher de cette rose rouge et l'envie d'écraser cette fleur de ta botte. Une migraine arrive, du chagrin semble déchirer ton organe battant. Qui es-tu en vérité Risa Holmes ? Ta grande sœur te répète sans arrêt que c'est la faute d'Adalie que tu as du mal à réfléchir, qu'elle est responsable de tes migraines, que la Noah a souhaité te détruire psychologiquement. Mais est-vrai ? Impossible de le savoir car la plus grande des Holmes ne montre aucune faiblesse devant toi et les autres personnes. C'est un mur de glace impossible à détruire et qui est redoutablement imposant.

De manière surprenante, un bruit te réveille de ta transe. Un gêneur semble être dans la pièce sans que tu sois dérangée dès son arrivée. Tu tournes légèrement ton visage en direction de la nuisance. Tu y repères un homme, en train de s'entraîner. Diable, mais depuis quand est-il ici ? Tu constates qu'il n'est pas ici depuis quelques minutes mais bien plus longtemps. À cause de sa transpiration, de son souffle court et de l'état où se trouve le pauvre mannequin d'entraînement. Peut-être que la dose de cocaïne a eu plutôt un effet de somnolence sans que tu t'en rendes compte, ce qui expliquerait la raison de tes jambes lourdes et du fourmillement très désagréable. Tu te contentes donc d'observer au loin, en silence. Tu ne connais pas cet individu et tu peux sentir ou du moins penser qu'il n'est pas un misérable débutant dans les coups qu'ils portent. Tu le trouves même beau garçon, bel homme, cependant ton corps refuse d'y émettre le même avis. Ton mind palace le trouve joli, mais ton cœur y est dégouté comme s'il effectuait un rejet après une affreuse douleur. Puis tout à coup, tu écarquilles tes iris d'un bleu océan en découvrant dans ta bibliothèque cérébrale l'image d'un homme blond aux yeux rouges. Il s'agit du visage du père de ton enfant, mais tu ignores tout à cause du lavage de cerveau. Tu te sens bouleversée, triste, déprimée, ce qui te rend encore plus confuse. Peu importe les secondes, les minutes, les heures, les jours, ton cœur ne s'ouvrira plus au sexe opposé. De plus, il appartient au Savoir et même avec les tentatives extrêmes de ta sœur, ton palpitant continuera d'aimer cette femme qui sera peut-être un jour ton épouse. Mais impossible de connaître toutes ces choses quand le cœur et le cerveau poursuivent une lutte sans merci.

Soupirant bruyamment sous ton masque en comprenant que tu ne peux plus entrer dans ton monde à cause du boucan que provoque l'individu. Tu décides de le rejoindre. Tu te positionnes derrière son dos, tu le scrutes un moment puis tu détruis le mannequin d'entraînement de l'homme avec un javelot aquatique. « Et si tu t’entraînais sur quelque chose de vivant ? » Tu désactives ton Innocence puis tu tires machinalement ton manteau noir pour cacher l'absence de ton avant-bras droit. « J'ai besoin de tuer mon ennui et tu m'as l'air d'être la solution à mon problème. Je suis Risa Holmes, détective consultante. La seule au monde, car j'ai inventé la fonction. Je suis aussi Exorciste. »

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MessageSujet: Re: Une affaire entre deux chevaliers   Une affaire entre deux chevaliers EmptyVen 7 Aoû - 10:06






Une affaire entre deux chevaliersWith Éloi Bauchard





Évidemment que toi la Sherlock Holmes tu connaissais la fonction principale de ce pittoresque personnage. Il est un Semi-Akuma, ça saute aux yeux et même le pire des idiots, le plus gros des boulets pourrait apercevoir ce détail. Tu effectues donc un bruit d'irritation, tu pestes même sur la remarque de ce beau garçon. Penchant ta tête sur le côté, tu y aperçois de nombreux indices qui indiquent par exemple l'admiration de cet homme sur ta propre personne, sans oublier qu'il est détenteur d'une personnalité respectueuse, chevaleresque. Le genre d'individu que tu ne peux pas piffrer au final car ils baissent le QI des environs. Si tu te penches sur d'autres détails, tu admets l'hypothèse (qui doit être forcément vraie) que ta cible aime énormément Central au vu de son look. Décidément, ton client est bien trop facile pour toi, c'est un livre ouvert qui ne demande qu'à être lu. « Inutile de jacasser sur les détails de votre profession my dear. » affirmes-tu d'un geste de main signifiant, le prévenant, de l'arrêter dans sa course ennuyeuse pour toi, la Sociopathe de haut niveau. « Vous pouvez baisser votre bras, ou plutôt je suis très curieuse de l'examiner de plus près. Comprendre la fusion entre l'œuf Akuma sur votre bras s'avère être très intéressant mais je n'ai malheureusement pas le temps d'étudier sur ce sujet, mister Bauchard. »

Il te signale qu’il ignore absolument les origines de ta profession. Pas étonnant car tu es la seule en ce monde comme tu le dis si bien, à exercer ce genre de métier. Après tout, les autres individus ne sont pas capables de t’égaler voir de te surpasser. Tu es exceptionnel Risa et ça, tu aimes tant vanter, te gonfler les chevilles de ton sens de déduction hors du commun. Tu es née en tant que Génie, tu es venues au monde pour montrer aux gens que tu es exceptionnel. Tu lèves donc ton menton pour fixer de haut cette création de Central, ce mi-homme mi-démon. Mais il est difficile pour toi de le fixer de ta hauteur car ce preux chevalier détient une taille impressionnante frôlant les deux mètres alors que pour toi, la Sherlock Holmes, tu ne fais qu’un mètre soixante et onze. Peu importe ! Tu te fiches si ce canon de la nature soit plus grand que toi, car tu as déjà botté le derrière à de nombreux individus bien plus impressionnants que ce soldat. La meilleure solution pour des grands gabarits, c’est de donner un violent coup de pied dans les parties des mâles pour les briser en deux et ainsi les emmener tout droit à la justice. Tu as déjà procédé maintes fois à cette méthode qui au moins ne te demande pas de transpirer. Mais si tu revenais plutôt au sujet présent au lieu de t’égarer, après tout, tu n’as pas encore répondu à la question de ton collègue. « Quand Central et l’Ordre Noir sont dans les choux pour enquêter sur un sujet, c’est-à-dire à peu près tout le temps, ils font appel à mes services. » Tu croises tes bras sous ta poitrine, tu bouges d’un coup sec ton visage pour remettre correctement ta tresse indienne qui se trouvait derrière ton dos pour la placer sur ton épaule droite. Tu effectues un air flip en quelque sorte. « Je suis au compteur de cent cinquante-six enquêtes résolues depuis le début de ma carrière. Bien entendu, je n’accepte pas un travail basique. J’ai horreur d’enquêter sur des sujets ennuyeux qui me feront perdre mon temps. » Oui, toi la détective consultante tu as déjà refusé un nombre astronomique de demande d’enquête sur des sujets très enfantins. Comme par exemple si une femme trompe son mari, si le voisin insulte l’autre, ou d’un simple vol banal. Bref, tu es sélective, vraiment très sélective pour choisir tes enquêtes car tu ne désires pas remplir ton palais mental d’informations ennuyeuses qui correspondent à des déchets. « Êtes-vous éclairé, my dear ? Je ne répèterais pas deux fois mon explication, j’ai horreur de le faire. »

Tu enlèves ton manteau noir en le jetant dans un coin, ignorant à présent le fait que tu n’as plus qu’un seul bras, qu’une main valide. Tu te fiches royalement si ton collègue fixera ou non ton membre en moins, tu n’as pas besoin de ton avant-bras manquant pour mettre au tapis le Semi-Akuma. Cependant, lorsque tu as jeté ton vêtement, tu ne prends pas la peine de retirer ton masque qui camoufle ton visage fatigué à cause de cette guerre et de ce que tu as vécu il y a quelques jours en te retrouvant face au Savoir. « Je déteste le terme "Exorciste". » lâches-tu en remettant correctement le col de ta chemise. « Je suis une détective consultante. » Puis, pour répondre à la question du blond, tu dégaines du fourreau accroché à ta ceinture autour de ta taille, une de tes épées provoquant ainsi un bruit métallique. Tu effectues deux trois moulinets pour échauffer ton poignet. Ensuite, après quelques échauffements, lorsque tu penses que le moulin à paroles cesse enfin de te casser les oreilles, tu actives les deux anneaux de Poséidon se trouvant sur ta main valide. Ainsi, de l’eau recouvre la lame de ton épée la rendant bien plus brillante, bien plus jolie à regarder. « Je me fiche de votre bras. Je m’en fous si ce dernier est hideux ou non. Je ne suis pas comme les autres. Je ne me situe pas envers les gueux qui jugent aux apparences pour se sentir supérieur. » Sans prévenir ton opposant, ton partenaire d’entraînement, d’un mouvement rapide tu places le bout de la lame de ton arme à exactement un centimètre du cou du Français. « Je suis certaine d’avoir répondu à vos questions. » exclames-tu en gardant toujours ta lame proche de la pomme d’Adam de l’homme. « Règle numéro une. Ne jamais donner d’opportunité à son adversaire. »

Lorsque tu termines ta phrase, tu n’attends pas midi à quatorze heures pour faire tomber le Semi-Akuma sur le sol. Comment as-tu fait ? Tout simplement en lui administrant un croche-pied car ce dernier qui est très chevaleresque ne se doutait peut-être pas d’une action aussi fourbe d’une jeune femme folle amoureuse du Savoir. Reculant ensuite, adoptant une garde défensive qui est identique à celui de ton père adoptif dont tu ignores tout de lui à cause de ton lavage de cerveau, tu te mets à sourire grandement sous ton masque, sous ta protection, sous cette coquille qui cache la Sorcière aux Roses Noires. « Être beau n’est pas une arme pour vaincre une femme. » te moques-tu en gardant ta posture de chevalier. « Vous allez devoir gravir une montagne pour arriver à ma cheville monsieur le chevalier. »

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MessageSujet: Re: Une affaire entre deux chevaliers   Une affaire entre deux chevaliers EmptyMar 8 Sep - 18:02






Une affaire entre deux chevaliersWith Éloi Bauchard





Je pensais avoir au moins l’effet de surprise de placer ma lame, ma fidèle épée qui n’est aucunement Excalibur au niveau de la pomme d’Adam d’Éloi Bauchard. J’ai donc sous-estimé les capacités surhumaines du blondinet qui arrive à parer mon coup furtif à l’aide de son épée. Sa force est extrêmement prodigieuse, digne d’un chevalier qui pourrait figurer à la table ronde. Mais je n’en suis pas moins surprise d’avoir une force bien inférieure à ce Français, néanmoins je réserve toujours mes meilleurs cartes sous ma manche. Je suis sans aucun doute une excellente épéiste qui pourrait bien vite égaler Yû Kanda, mais mes talents ne se limite pas au jeu des épées. Je cache en réserve mon Baritsu et lorsqu’il sera mélangé à mon resplendissant et prodigieux palais mental, mon adversaire devra se plier sur cet entraînement. J’observe une nuance de contrariété sur le visage de l’homme à propos de mon comportement aussi fourbe et aucunement loyal pour un chevalier. A-t-il donc oublié que je suis avant tout une détective ? Le terme chevalier ne me correspond guère, je déteste être humble et courtois envers des individus ordinaires qui n’utilisent même pas le plein potentiel de leur cerveau soit d’égaler ou de surpasser les soixante-deux pourcents de la mémoire visuelle. J’ai horreur d’être comme eux, de devoir me remplir le crâne de bêtises et ainsi ne plus pouvoir aller à l’essentiel des choses. Loyauté. Honneur. Peuh ! Des choses futiles qui ne me feront que me ralentir sur mon chemin. Pourquoi donc s’embêter sur ça ? C’est d’une nuisance et d’un comportement totalement enfantin. « Faites comme bon vous semble, mister Bauchard. Continuer de jouer au preux chevaliers ne vous mènera jamais à la victoire. Vous laissez vos sentiments obscurcir votre jugement, ainsi vous serez toujours un perdant car les sentiments sont une tare chimique pour ces derniers. »

Je pince l’intérieur de ma joue gauche, déçu de voir que mon croche-patte vient de fonctionner à merveille. Je détourne un instant mon regard fastidieux, soupirant d’irritation de constater que le niveau de cet entraînement est extrêmement bas. Je tapote mon épaule gauche avec le dos de mon épée aqueuse tout en scrutant les nombreux et nouveaux indices qui se dégagent du combattant au sol. Le verbe agacer ressort de son visage, inacceptable est un autre mot qui s’échappe de son crâne. En assemblant ses deux indices pour en créer un nouveau, je peux spéculer qu’Éloi est en colère sur le manque de respect que j’ai donné à Central. Voilà, encore une fois ce gentil chevalier cède à ses sentiments. D’après lui, seul le talent compte en duel et je ne vais pas du tout le contredire. J’approuve énormément ses dires et pour une fois, de la sagesse se dégage de ce soldat de Central. Puis, je ne peux m’empêcher de hausser à nouveau un de mes sourcils lorsqu’il reprend l’une de mes phrases, de cette règle numéro une devenue deux, de ne jamais sous-estimer un adversaire en plein combat. Il se relève d’une grâce élégante et avant que le blond puisse frapper, je caresse du bout de mes doigts mon palais mental. Ainsi, le monde autour de moi s’arrête, le temps ne travaille plus et mon mind palace m’explique exactement ce que le preux chevalier va réaliser.

Tout d’abord, en se penchant sur sa phrase ne pas sous-estimer ses adversaires, j’élabore la théorie qu’il va se servir de sa force surhumaine contre moi. Donc, sa précieuse épée va croiser le fer contre ma lame aqueuse. Éloi usera de ses impressionnantes capacités physiques pour me déséquilibrer. Ne pouvant contrer cette immense puissance à cause de mon seul bras valide, je vais automatiquement être en grande difficulté. Je suppose que ce serviteur du Roi Arthur pensera qu’il me faudra peu de temps pour reprendre mon équilibre, dans ce cas le Français usera du même stratagème que j’ai effectué la fois précédente. Un croche-patte pour que je puisse embrasser le sol à mon tour. En d’autres termes, le guerrier désire à son tour avoir son moment de gloire pour me clouer le bec. Solution possible ? Me servir de sa force pour user d’une capacité liant mes techniques de bretteur à mon Innocence. Prenant une bonne respiration, évacuant ensuite l’air dans mes poumons charbonnés par le tabac et la drogue, le temps autour de moi reprend son cours. En réalité, il ne s’est jamais arrêté, j’ai juste analysé et élaboré une contre-offensive en moins d’une fraction de seconde. De ce fait, lorsque la lame du chevalier s’apprête à s’entrechoquer sur ma lame, je décide de réceptionner le fer de l’arme d’Éloi i avec le dos de mon épée. Grâce à ce stratagème, je laisse sa force me submerger à moitié afin de faire glisser son jouet sur le mien et ainsi dévier son coup. Cependant, je perds tout de même mon équilibre, m’apprêtant à effectuer une chute libre pour plaquer mes lèvres sur le tapis du ring. Mais j’ai prévu d’effectuer cette manœuvre pour l’empêcher ou plutôt d’esquiver sa tentative de croche-patte. Alors, avant de tomber sur le sol, je tourne sur moi-même en libérant l’eau de ma lame pour former une tornade aqueuse renversée et ainsi repousser violemment mon collègue d’entraînement.

Je sers ma mâchoire en rencontrant le sol mais je suis plutôt confiante d’avoir réussi à ne pas tomber comme une bleue par le biais du chevalier. Me relevant, enlevant la poussière sur ma chemise grise, remontant les bretelles sur les pointes de mes épaules, je tourne autour de Bauchard. « Règle numéro trois, se référer à la première règle. » Je lève mon épée pour qu’elle s’aligne à l’arête de mon nez afin de séparer mon visage en deux parties. Mes cristaux d’un bleu océan qui se cachaient dans l’ombre de mon masque ressemblant énormément à celui de Central, luisent soudainement sous l’effet de l’Innocence. « J’ai une question intéressante à vous poser. Tenez-vous à votre épée ? » Demandais-je en augmentant soudainement la température de ma lame redevenue aqueuse la confondant ainsi en une épée en fusion. « The game is on ! »

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