beauty may be dangerous but intelligence is lethal

Silencieuse, ne faisant qu’un avec le silence, figée comme une statue, à moitié caché par l’obscurité de la pièce à cause de la nuit à l’extérieur qui est très mal éclairée par la Lune en demi-croissant, tu fixes quelques instants un domestique qui est ligoté et bâillonné sur une chaise assez luxueuse. Il ne se débat pas, il ne bouche presque pas, car ce dernier est prisonnier par la peur qui l’habite à cause de toi, la fille du vent salé ou plutôt à l’heure d’aujourd’hui la Sorcière aux Roses Noires. Ce soir, tu ne travailles pas. Tu as déjà rempli ta mission pour l’Ordre sans aucune contrainte et avec une lassitude extrême. On t’a demandé de retrouver un broker travaillant à la solde du Faiseur. Tu l’as débusqué trop facilement alors que tu souhaitais que ton affaire soit assez pimentée pour oublier ton ennui constant. Mais voilà, toi la Sherlock Holmes tu as déjà réussi. Tu aurais même pu fermer les yeux en savant pertinemment que tu allais résoudre l’affaire. Le broker git désormais dans une cellule, quant à toi tu retournes à nouveau dans ton ennui en ne trouvant personne qui arrive à ta cheville pour t’empêcher de résoudre une affaire. Alors, durant cette soirée, au lieu de rentrer bien sagement dans ton nouveau foyer à la manière d’un chien en laisse, tu as préféré rester dans les parages en prétendant ou plutôt mentant à tes supérieurs qu’un broker pouvait en cacher un autre, comme par exemple un prétendu associé qui se cache dans l’ombre. En vérité, c’est faux. Tu as profité de ce petit instant pour mener une nouvelle enquête ; celui de ta mémoire qui fait des siennes. Autant l’avouer, tu te sens incomplètes, imparfaites depuis la perte de ton bras. Tu te souviens désormais grâce à la douleur que tu as eu une liaison, mais avec une Noah, une ennemie. Pourtant, ça n’a pas t’empêcher de l’embrasser, de t’emparer de ses lèvres chaudes et délicieuses pour calmer ton palpitant qui allait exploser dans ta poitrine. L’amour, est une chose bien inconnue pour toi car tu penses, tu étais certaine de n’avoir jamais rencontré ce sentiment. Jamais ô grand jamais tu te souviens à avoir eu une quelconque relation avec un homme. Mais de là à comprendre qu’au final ta mémoire te cachait une relation secrète avec une personne du même sexe que toi, tu as l’impression de disjoncter…

Baissant ton visage dont tes cheveux neigeux sont à moitié cachés sous ta capuche de ton uniforme d’Exorciste, ton regard est perdu, vide de l’intérieur. Tu ne comprends plus vraiment ce qui se passe et ton resplendissant palais mental est en gros bordel. Impossible de t’y poser sans trébucher sur des livres qui sont tombés des nombreuses étagères qui gisent dans ton mind palace. Une personne y a mis un bazar monumental et tu ignores de qui il s’agit. Si cela venait de ta part, tu aurais laissé une trace, un souvenir, de quelque chose pour t’en rappeler, mais rien de chez rien. Tu te sens comme une coquille vide où ton âme ou plutôt ton esprit qui est bien plus important à tes yeux a été volé par un malfaiteur. Risa Holmes, toi la détective qui arrive à tout résoudre par un claquement de doigt car tu es la meilleure de ce monde, pourquoi n’arrives-tu pas à comprendre ce qui t’arrives actuellement ? Tu as l’air d’être une véritable sotte et une blonde dont tu ignores l’existence pourrait même le prouver. Tu diriges ton pouce gauche près de tes dents pour ronger ton ongle. Tu grimaces ensuite par une vive douleur à la tête, comme le début d’une migraine. Pourquoi donc penses-tu constamment à l’hypothèse d’un lavage de cerveau ? Cette réponse est bien trop évidente pour qu’elle soit réellement vraie. L’Ordre Noir ne pratique pas ce genre de chose, du moins tu l’espères. Mais bon, quand tu as appris l’existence de gosses qui utilisent la magie pour contrôler une Innocence, tu as du mal à effacer l’hypothèse du lavage de cerveau.

Du coup, tu as réfléchi, longtemps, très longtemps, plus de vingt-quatre heures déjà sur une solution pour retrouver des brides de ta mémoire oubliée. Alors, la première réponse qui t’est venu à l’esprit n’a pas été de te tourner auprès de ta grande sœur Wanda, mais plutôt d’interroger la femme qui a volé ton cœur sans que tu le saches. Il ne te faut donc pas beaucoup de temps pour retrouver la trace de cette brune. Pourquoi cela ? Car tu as retrouvé des notes à son sujet dans tes affaires. Tu disposais dans ta chambre d’un petit calepin, où tu codais constamment ce que tu y écrivais pour que personne d’autre comprennent ton langage. À première vue, en lisant tes écrits on croirait lire le récit d’une amoureuse des fleurs mais ce n’est pas le cas, bien que Adalie Van Eyck soit représentée par une resplendissante Rose Rouge. Donc, en ayant relu tout ceci, tu connais l’adresse exacte de la femme qui t’aime et espère retrouver l’ancienne Risa dont Ada mentionnait l’autre fois. Pourtant, il ne peut pas y avoir deux toi, c’est purement impossible à moins que tu aies une double personnalité dont tu ignores encore l’existence. De toute manière, il te faut des réponses, donc tu dois interroger la concernée, avec ou sans violence, ce sera à Ada d’en décider. Tu comptes avoir ce que tu recherches, pour comprendre vraiment ce qui t’arrive. Puis, lorsque tu te remémores le fameux baiser, tu sens de la chaleur monter jusqu’à tes joues. Tu es en train de rougir, tu détournes alors machinalement ton visage pour que le domestique ne soit pas témoin de cette scène. Il semblerait que ton petit cœur ne soit pas coopératif avec toi ces derniers temps. Toi qui insistes lourdement que les sentiments sont une tare chimique pour les perdants, te voilà du coup dans ce camp….

Tu entends subitement du bruit à l’intérieur, plus précisément à la porte d’entrée. Tu assommes donc le domestique de ton poing humain et non robotique. Tu as un peu de cœur tout de même pour cet innocent qui n’a rien demandé. Tu te faufiles ensuite dans le salon tout en enjambant les nombreux corps inertes des nombreux autres domestiques de Van Eyck. Certains ont tenté de résister, ces derniers auront donc quelques membres de leurs corps brisés car tu n’es pas n’importe qui Risa, tu es une experte du baritsu mais surtout une ennemie naturelle des Descendants des Noés. Remettant ton masque recouvert de gris et de rouge, cachant l’intégralité de ton visage, tu arrives à destination, dans ce fameux salon assez chic. Tu t’assieds sur une chaise, tu croises fermement tes bras, tu actives en douce ton Innocence pour montrer ta présence à la Noah qui normalement doit reconnaître l’aura du Cristal Divin si tu as bien étudié tes leçons sur cette Guerre Sainte.

Tout à coup, sans faire le moindre geste, deux cerbères aqueux sortent du sol par ta volonté. Autant être très prudente, autant être prête à attaquer si besoin car tu n’as pas envie de revenir avec un autre membre en moins. Et puis…tu as étudié le comportement de cette femme, de ce trésor dont ton cœur est fou amoureux. Un homme la suit constamment. Grande taille, peau mate, cheveux blancs, sûrement un Akuma mais d’un niveau plus haut que les nouveau-nés. Donc, si jamais lui aussi se pointe, les cerbères seront là pour le prévenir de se tenir à carreau.

Bien installée sur une chaise se trouvant proche de la table du salon, tu restes silencieuse, tu ne parles pas, tu ne réponds même pas aux deux questions de celle que tu aimais par le passé. Tu te souviens encore de ce moment, de cette scène où lorsque tu as été amputée, ton cœur a pris possession de ton corps pour embrasser le Savoir et révéler que ce dernier l'aimait. Tes paroles, ce que tu lui as dit ne sonnait pas faux, elles étaient vraies et sincères. Mais pourquoi donc te sens-tu si perdu après cette scène ? Toi qui normalement serais indifférente à l'amour tu as l'impression de connaître des mystères sur ta propre personne. Tu fronces durement tes sourcils neigeux à la vue de cette femme si mystérieuse. Tu tentes de trouver des indices sur elle par un souple coup d'œil mais tu ne vois rien. Il n'y a que des points d'interrogation qui se dégage de cette beauté. Tu peux tout de même deviner plusieurs choses sur le type de maquillage utilisé, le tour de poitrine, la raison de son style vestimentaire mais rien d'intéressant sur ta relation avec cette Noah. Ta mémoire endommagée refuse de t'aider et tu grimaces sous ton masque lorsque la migraine arrive. Le mystère reste entier pour cette brune qui au final devait être la femme de ta vie, l’amour unique et rare que tu convoitais par le passé. Tu t’étais jurée de l’épouser, de revenir un jour lui faire une surprise en débarquant chez elle sans prévenir, puis ensuite de poser un genou à terre et de lui montrer une bague de fiançailles où un rubis brillerait de mille feux. Ce rêve, cette convoitise, se cache au fond de ta mémoire, il est enchaîné par nul autre que ta grande sœur Wanda Rosalia Holmes. C’était soit le lavage de cerveau soit un sort nettement plus pire pour ta trahison, pour avoir sympathisé avec l’ennemi, pour avoir ouvert ton cœur à cette beauté de la nature. Mais à présent, l’ancienne Risa n’est plus. Désormais c’est la nouvelle Risa, la flambant neuve, la sociopathe ultime, la véritable Sherlock Holmes incarnée. L’amour n’a plus sa place pour toi, mais est-ce bien vrai ? Est-ce que ce sentiment n’est pas plutôt gardé précieusement dans ton palpitant en attendant le bon moment pour ressurgir, comme l’autre fois ? Peut-être que le moment n’est pas encore venu où Risa Holmes coule des jours heureux avec sa femme Ada van Eyck Holmes.

Tu finis par te lever de la chaise, tu contournes la table tout en continuant d'être concentrée sur l'utilisation de tes deux chiens à trois têtes. Lorsque tu arrives face à la brune, tu baisses ton visage pour observer le bouclier qui est celui de Chiron. Tout doucement, les griffes de tes phalanges droites se posent sur l'œuvre d'art historique. On dirait vraiment le vrai, tu en es convaincu. C'est fascinant d'avoir la chance de voir de près ce bouclier de la mythologie grecque. « Le bouclier de Chiron, il est magnifique. Dommage que les livres ternissent sa beauté. » avoues-tu en reposant tes billes d'un bleu océan sur ceux de la ravissante femme. « Vos sous-fifres me cassaient les pieds. Trop bavards, trop de questions, j'ai donc du coup dû y remédier. Votre sécurité laisse à désirer, Adalie Van Eyck. »

Tu claques des doigts et automatiquement tes cerbères disparaissent, cependant l'eau de ces choses gravite autour de ta silhouette pour changer peu à peu sa forme. Désormais, une épée apparaît dans ta main droite. Il s'agit d'Excalibur, l'épée dont rêve tout chevalier qui se respecte. D'un mouvement rapide, ton arme entre en contact avec le bouclier de la Noah afin de l'endommager. Bien entendu, tu as pris la peine de changer la température de l'eau pour la rendre très...froide. C'est donc devenue une arme solide que tu as dans les mains. « Nous sommes ennemis, pourtant je ne comprends pas pourquoi mon cœur continue à battre sans arrêt pour toi, Noah. » Tu effectues un bond en arrière, tu reprends une distance raisonnable et surtout sécuritaire. « Ma sœur me répète sans arrêt que tu es responsable de mon amnésie, de mes migraines incessantes. Qu'est-ce que tu m'as fait ? » Tu te mets à grogner sous ton masque, tu sers fortement le fourreau de ton arme. Tu en as marre fille du vent salée de ne pas savoir pourquoi tu as un lien aussi étroit avec cette femme, cette ennemie naturelle. « Pourquoi as-tu pleuré pour moi quand tes frères et tes sœurs ont attaqué la Congrégation de l'Ombre ? Qui suis-je réellement à tes yeux ? Une simple marionnette ou une aventure d'un soir ? Réponds-moi, Adalie van Eyck !! » Des réponses, tu exiges ces choses car tu es sur les nerfs et plus ça continue plus tu risques d’avoir envie de réduire tout ce bâtiment en bordel…

Toujours en garde, prête à bondir pour reprendre ton assaut contre la Noah, tu fais en sorte de bloquer ton palpitant qui te martyrise depuis que tu as de nouveau, pour la troisième fois de ta vie, engager le combat contre cette jeune femme. Pourquoi ? Pourquoi souffrir à chaque fois que toi la grande détective tu souhaites réaliser ton job, à savoir éliminer cette Noah pour sauver ce monde qui t’ennuie tant. Tu pestes sous ta barbe inexistante, tu sers fortement la poignée de ton épée, tu canalises ta colère et ta haine contre cette femme responsable de la perte de ta mémoire. Il n’y a pas à réfléchir, l’évidence est déjà encrée au plus profond de ton palais mental. Ada van Eyck est responsable de ta mémoire dégradée, cela ne fait aucun doute. Sinon, pourquoi es-tu constamment en rogne en la voyant ? Pourquoi des pulsions meurtrières t’ordonnent absolument d’en finir avec cette femme. Et surtout, pourquoi ton cœur refuse de voir la vérité que dicte ton merveilleux et resplendissant cerveau. Tu es torturée intérieurement. Tu es totalement perdu. Tu es une poupée, une marionnette convoitée par ton cerveau et ton palpitant. Tu es tirée des deux côtés, dans un combat qui oppose ces deux choses en toi qui voient Adalie différente. L’un souhaite absolument la tuer. L’autre désire affreusement rester à ses côtés pour l’aimer jusqu’à la fin de ton existence et au-delà de la mort. C’est ainsi, que la Noah après tes questions, est également perdu. Cela se lit sur l’expression de son visage, de ses yeux uniques qui t’hypotonisent chaque seconde. Tu aimerais tant pouvoir garder tes yeux braquer sur ceux de la femme, mais c’est impossible… Tu souffres Risa, tu es déchirée en deux et plus tu restes en compagnie de cette fille et plus tu deviens folle. « Je déteste me répéter. » lâches-tu d’une voix froide et extrêmement menaçante. Tu t’apprêtes à lui remettre les idées bien en place afin qu’Ada avoue son crime mais au moment où tu désires passer à nouveau à l’action, ses paroles à elle, te stop net.

Depuis quand tu ne réfléchis pas ? Depuis quand gobes-tu des histoires comme ça ? Sans fondement ! Sans argument ! Et de plus, données par Central ? Tu restes muette, tu baisses légèrement ta garde ainsi que ton visage. C’est vrai, la brune marque un point. Tu agis différemment ces derniers temps. Comme-ci tu étais réellement une marionnette. Tu poses ta main gauche sur ton masque, à l’endroit où se trouve ton front. Tu fermes les paupières un instant pour tenter de réfléchir, de reprendre le contrôle de ta vraie toi, mais lorsque tu tentes un tel exercice, une telle action, une voix résonne dans ta tête. Elle est déformée, impossible de savoir s’il s’agit d’un homme ou d’une femme. Ça répète en boucle sans arrêt. Encore et encore. Ça sonne comme un ordre. Tu dois tuer Adalie van Eyck. Tu dois tuer la Noah du Savoir. Tu dois débarrasser ce monde de son existence. Tu te mets à gémir de douleur, tu grognes, tu secoues ta tête de droite à gauche. Plus tu souhaites comprendre l’ordre donné dans ton esprit et plus la souffrance t’électrocute de la tête aux pieds. « Je…dois…te… » Tu écarquilles tes iris d’un bleu océan qui sont cachés sous ton masque lorsque tu entends la toute dernière question d’Ada. Qui es-tu ? Elle est bien bonne celle-là. Comme-ci tu ne savais pas qui tu étais réellement. Tu es… Un blanc s’installe dans ton esprit. Oui, toi la sociopathe, tu sembles avoir du mal à réfléchir à cette question. Tu es Risa. Ce prénom sonne très bien. Mais quand tu penses à ton nom de famille, un goût amer reste dans ta bouche. Holmes. Pourquoi ce nom semble ne pas te réjouir ? Pourquoi ton cœur refuse d’admettre que ce nom signifie tout pour toi. « Assez !! » hurles-tu de colère en abattant ta lame à quelques centimètres du visage d’un domestique ligoté sur le sol. « Arrête de vouloir me manipuler ! » ordonnes-tu à Adalie en pointant ton index gauche sur elle. « Je suis Risa Holmes, Exorciste ainsi que détective consultante pour l’Ordre Noir et Central. Voilà qui je suis ! » dis-tu en répétant la phrase de ton aînée. Un commentaire, une réponse, une affirmation qui ne correspond aucunement à l’ancienne Risa mais à celle qui a vu le jour grâce à Central et Wanda.

Tu effectues quelques moulinets d’Excalibur, tu fixes un instant la merveilleuse arme dans ta main, tu glisses ton pied gauche en arrière, tu plies légèrement tes genoux, te voilà prête à foncer sur la femme qui autrefois donnait de l’espoir à la Risa qui n’existe désormais plus. Tu penches légèrement ta tête sur le côté, tu tentes de trouver une faille, un point faible sur le Savoir, sauf que tu ne trouves toujours rien. Il n’y a que des points d’interrogation qui tournent autour de ton ennemie. C’est la première fois que tu rencontres un adversaire qui ne laisse aucun indice sur son apparence, comportement et attitude. C’est comme-ci actuellement, Adalie va Eyck était nue devant les yeux de la détective pour te perturber et te dominer. Tu ne le sais plus à cause de ta perte de mémoire mais Abigail Panabaker a usé plusieurs fois de ce stratagème pour prendre le dessus sur toi. Sauf que là, ton amoureuse, celle qui détient toujours ton cœur malgré ton refus et ton conditionnement de Central de devoir tuer cette femme qui s’est ouverte pour l’ancienne Risa, ton ancienne toi, n’a pas besoin de se montrer sans vêtement pour te perturber, te déstabiliser, te dominer.

Tu ne fais désormais plus qu’un avec ton palais mental, tu analyses un schéma d’approche pour attaquer en toute sécurité. Tout d’abord, tu dois faire attention à son bouclier, donc le meilleur moyen de percer sa défense, c’est de viser les jambes. Ensuite, si sa garde, sa défense s’affaiblit, Excalibur ira tout droit dans le cœur de la jeune femme pour mettre un terme à la vie du Noah du Savoir. Si jamais Adalie persiste à ne laisser aucune faille sur tes enchaînements, alors tu seras obligée d’utiliser ton baritsu mélangeant plusieurs disciplines de combat pour en créer une seule. C’est ainsi, que tu passes à l’offensif. Tu sautes de la chaise pour arriver sur la table pour ensuite t’élancer à très grande vitesse sur Ada. Excalibur s’entrechoque une nouvelle fois sur le bouclier de la femme. Puis, tu tentes de la faire reculer, pour ensuite attaquer ses jambes avec ton épée. Mais si cette dernière arrive à te contrer, tu comptes lui administrer un croche-patte pour lui faire perdre équilibre et ainsi…abattre ton épée dans son corps…

Est-ce ton destin de détruire l’amour de ta vie ? De ne pas écouter ton cœur mais plutôt ton cerveau manipulé ? Pour le moment, ta sœur semble être heureuse dans son coin, au chaud derrière son bureau, à accomplir la volonté de Central. Car oui, tu es sans doute le meilleur élément pour détruire le Savoir de Noah car tu incarnes également…une mémoire humaine.